top of page
Nous 1.png

La SPPI naquit en 2014 à Guingamp. C'est une association à essence artistique.

Elle est aujourd'hui composée d’artistes, de technicien-nes, d’une équipe administrative et d’un bureau. Tout le monde se réunit et se questionne autour du développement de la structure. Grâce à une petite montagne de réunions, une réflexion interprofessionnelle se crée où se posent les questions de comment évoluer dans le game.

 

Les moyens de la SPPI sont raisonnables ; ses ambitions le sont beaucoup moins.

Les spectacles tournent en France, en Europe, et aussi dans la région de Guingamp ; c’est un territoire à la fois point d’ancrage et source d’inspiration.

Depuis presque 10 ans, la compagnie y développe des liens forts avec la population et les partenaires culturels.

 

faire rentrer l’univers dans un utilitaire

Charger un décor bollywoodien dans 15m3 en pesant moins de 50kg - tout comme tenter de convaincre avec un sorbet au cassoulet pour un premier rendez-vous amoureux, ça requiert méthode et détermination, optimisme et persévérance ; mais aussi un certain amour du risque, des nerfs solides, des capacités d’adaptation, un sens de l’anticipation quasi subliminal…

Comme on ne peut pas faire tenir une aussi grosse liste dans une seule personne, chez la SPPI, les compétences de chacun sont complémentaires. On exploite joyeusement l’opposition entre fantasmes de superproduction et passion pour le “faire soi-même”.

 L’identité artistique se nourrit de cette contradiction.

 

Pour le bon fonctionnement de son éthique, la SPPI a pour principe d’utiliser tous les organes vitaux :

se torturer le cerveau pour être honnête avec ses entrailles et tout faire avec le cœur.

 

L’équipe artistique est autrice et interprète de ses spectacles. Elle partage et défend :
- un engouement pour les sous-cultures, les esthétiques émergentes et le sens du détail
- une écriture scénique où le rythme joue le rôle principal

- l’envie de passer beaucoup de temps ensemble – pour que perdurent la confiance, le langage scénique commun et la vision globale de l’activité de la structure.
Comme dans les superproductions, le travail de construction / vidéo / costumes / lumières intervient très tôt dans le processus de création, et y occupe une place prépondérante.
Les outils de communication (teasers, graphisme, merchandising), sont considérés comme des domaines de création au même titre que les spectacles, et contribuent au développement de l’identité artistique.
Les projets sont hybrides, stimulés par la danse, l’absurde, le jeu, la vidéo, le cirque, et provoquent en général une sorte de tension électrisante pour l’auditoire.  

C’est l’occasion de grandes rencontres entre les degrés humoristiques, les tons et les codes de jeu ; les artistes y circulent en totale liberté.

Enfin, la SPPI affiche un désintérêt assumé pour les tentatives de catégorisation. Pas pour se croire novatrice, plutôt pour ne pas passer de temps à se demander à quoi elle appartient ou de qui elle se réclame. En gros, 

l’objectif est de faire ce qu’on veut avant de parler de ce qu’on fait.

Sinon, en toute logique, on n’aurait rien à dire.

Aleth.png
Aude.png
Chloé.png
Chloé_Le_Faucheur.png
Fede.png
Flo_.png
Hélène_.png
Julie.png
Loïc_.png
Nanda.png
Olivia.png
Sylvain.png
bottom of page